Voala une planche à roulettes, ki était à moa d'ailleurs, c'était même mon avant avant dernière planche ( ça tout le monde est content de le savoir, mais moa j'm'en fous, ki c'est k'écrit hein, ben c'est moa... ). Donc une planche à roulettes est compozées d'une planche ( souvent en bois ), de roues ( 4 en général ) et d'essieux pour tenir les roues ( c'est plus pratik ). Cette objet assez bizard sert à se déplacer ( parfois difficilement ). Ca doit faire environ 6 ans maintenant ke je fais le guignol la dessus, par chance j'me suis jamais fait trop mal ( c'est pas pour les figures ke ch'fais... ), à part peut être de temps en temps un pitit tordage de chevilles ou de poignets, voir un pitit déboitage dépaul' ou enkor un léger accident de genou... mais bon c'est pas ça ki compte, c'ki compte c'est le résultat! Et ben le résultat il est pas à la hauteur des blessures, mais ça aussi j'm'en fous un peu, moa ch'trouve ça cool de skater tout seul, pour sa gueule, se faire plaizir même si personne te voit. Mais c'est vrai ke c'est kan même mieux à pluzieurs, moa g commencé avec mon voiz1, on skatait tous les 2 au milieu de la route devant chez nous kom des cons, à essayer de faire décoler cette put1 de planche du sol, mais c'est pas si facile au début. Faut dire k'on avait des bonnes vieilles grosses planches, fallait les lever celles la, déjà k'on savait pas comment faire. Ben sinon maintenant ça va un peu mieux kan même les figures, koake. Voala chuis dégouté paske ça va faire 5 mois ke g arrêté, à coz' d'une rupture d'un ligament croizé, et ch'pourrait pas en refaire avant au moins un an. Je sais même pas si j'vais en refaire en fait...
Bon pour ceux ke ça intéresse g un züper expozé sur l'histoire du skate, alors voala bonne lecture.
"L'histoire du skateboard remonte au début des années soixante et doit son existence à une bande de surfeurs en manque de sensations fortes. Des roulettes de chariots fixées sur une planche de bois et le tour était joué.Tout allait pouvoir commencer, pour ce nouvel engin qui allait entraîner avec lui, toute une génération de surfeurs, avant de se trouver une identité beaucoup plus personnelle vers le milieu des années 1970. Le premier terrain de jeu de prédilection des skateurs sera bien entendu la rue et c'est sur des roues, qui ressemblaient plus souvent à des roulements en acier, que les premières descentes se feront. De San Fransisco à Los Angeles le nombre de skateurs est en augmentation et l'ambiance ne ressemble pas du tout à celle de la fin des années 90. A cette époque c'est l'insouciance générale, on skate pieds nus, on porte les cheveux longs et l'influence du mouvement hippie donne à ce "jeu" une image plutôt "cool". Personne ne se doute encore que la petite planche de bois va devenir un signe de ralliement international pour une nouvelle race d'athlètes.
Après avoir écumé les rues et les descentes, le skater des années 70 va connaître les premières évolutions techniques qu'il mettra à profit en allant chercher au fond des piscines de nouvelles sensations. Ceux que l'on appellera les pools riders vont se mettre au travail. Leur mission était de découvrir les piscines les plus belles, les plus profondes ou les plus verticales. Les jardins californiens regorgent de ces endroits magiques et le quartier ouest de Los Angeles devient du même coup un paradis pour des garçons comme Jay Adams, Tony Alva, George Orton ou Jimmy Plummer, qui furent en leur temps les leaders d'une nouvelle génération. Aujourd'hui, s'il reste un nom indissociable de cette pratique, c'est celui de Steve Alba qui depuis plus de vingt ans continue à passer le plus clair de son temps à skater et chercher d'éventuels spots secrets. Sa technique et simple, il survole Los Angeles en hélicoptère afin de repérer les meilleurs endroits. Le free style, ou figure libre a pratiquement disparu aujourd'hui du paysage skate. Pourtant, il fut la discipline de prédilection des premiers artistes de la planche à roulette. Jose Dematos et Alexis Lepesteur deviendront les premiers champions de France à marquer de leurs styles le début du skate en France en remportant de nombreuses compétitions de free style. Par la suite des garçons comme Jean Marc Vaisette ou Pierre Andre Senizergues sont allés tenter leur chance avec succès aux Etats Unis.
Pourtant, l'image du skater va définitivement être établie avec l'arrivée de la deuxième vague dans les années 85. Avec la fin des skateparks, le skater va revenir jouer sur son terrain de jeu favori, c'est à dire la rue, s'attaquant à tous les obstacles possibles et inimaginables que l'on peut trouver dans l'urbanisme moderne. Natas Kaupas et mister Guerrerro sont d'ailleurs considérés comme des pionniers en le matière. Cette nouvelle vague de skaters correspond au renouveau du skate et l'industrie qui jusqu'à présent survivait va connaître une explosion sans précédent. C'était l'époque des bones brigades et du team powell peralta, avec l'arrivée de garçons comme Tony Hawk, Steve Caballero ou Mike McGill, qui fut entre autres l'inventeur du fameux Mac Twist, l'une des figures les plus difficile à exécuter.
Aujourd'hui, le skate est pratiquement reconnu par tous comme un véritable sport, mais le skater, lui demeure toujours un peu en marge de la société, le skateboard est devenu un véritable élément de la culture urbaine et l'on skate sur tous les continents. Les professionnels ne sont plus uniquement des américains, mais l'on peut retrouver des brésiliens comme Bob Burnquist ou Lincoln Ueda, des scandinaves comme Mathias Ringstrom ou Arto Saari, des français comme Stéphane Larrance ou Marc Haziza. Le skateboard est devenu universel et pourrait, peut être devenir le sport des années 2000, le nombre de pratiquants ne cessant de croître à une vitesse vertigineuse. Aujourd'hui, à l'aube du nouveau millénaire, ce sport rencontre encore un problème majeur, qui n'est pas prêt d'être résolu. Alors que les skateparks n'arrêtent pas de pousser comme des champignons, la pratique du skateboard demeure interdite dans un grand nombre de villes de l'hexagone. Certes les jeunes pratiquants, que l'on surnomme les kids, peuvent trouver une solution de replis en allant justement skater ces parks, il n'en reste pas moins que le skate est né dans la rue et que la pratique du street ne pourra jamais être déplacée de la rue à une infrastructure, aussi parfaite puisse-t-elle être. Problème de fond et de forme, pour un sport pas tout à fait comme les autres.
Le skater à ses us et coutumes et aujourd'hui la coutume voudrait qu'il puisse continuer à s'exprimer librement sur son terrain de prédilection. Hélas, les autorités en ont décidé autrement et pour le moment la pratique de skate est donc toujours réprimandée avec pour les moins chanceux un cas numéro 5 en guise de prime ( 900 francs d'amende )."
Et ben voala, zêtes pas endormis j'espere.
Sinon la y'a kelkes photos, et ici y'a les tricks secrets de Tony Hawk's skateboarding ( y sont plus secret pour personne mais on sait jamais )
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